Il y aura peu de texte dans cette rubrique car les photos, si nous les avons bien choisies, parleront d’elles-mêmes…
Si vous voulez les commenter ou apporter des précisions ne manquez pas de réagir, en nous envoyant un courriel à infogougnies_at_gmail.com. Merci!
Et pour commencer, deux photos de la rentrée à Gougnies. La première remonte vraisemblablement aux premières années suivant la relance de la Marche en 1946. Voir aussi 50ème anniversaire de la relance de la marche
La seconde, prise exactement du même endroit date de 2005…
Voici un paysage de Gougnies méconnu de ses habitants …
Le Tour de France à Gougnies!
Eh! oui: vous avez bien vu! Le Tour de France à Gougnies: c’était en 1961. Les photos de la caravane puis du peloton sont prises à la sortie de Gougnies vers Biesme, à l’amorce de la montée du « Château Toussaint ». Jean-Claude, un précieux conseiller du site nous rappelle que, la veille, la troisième étape (Roubaix-Charleroi: 97,5 km)avait été gagnée par le Belge Emile Daems. celle qui passa par Gougnies, la quatrième donc, était Charleroi-Metz (237,6 km). Elle fut remportée par le Français Anatole Novak
Le Tour se disputait encore par équipes nationales; Jacques Anquetil prit le maillot jaune à la deuxième demi-étape du premier jour et le conserva jusqu’au bout. C’était la deuxième de ses cinq victoires finales. Le premier Belge, Eddy Pauwels, finit neuvième.
(Collection Véronique Cabut)
De quoi s’agit-il ? Au dos de la photo on peut lire « Soldats australiens, guerre 14-18 arrivés en 1919 ». Sur la seconde photo on trouve, sans doute de la main du soldat, la mention « Belgium 12-2-19. D Gordon »
Photos - Collection Jacques Monnoyer
Il y avait, dans le haut de Gougnies, jusque dans les années ’60, deux étangs: l’un, l’étang Marcelle », entre la rue de Namur et l’orée du bois; l’autre entre la rue du Bos-le-Comte et celle de Sart Eustache. Ils recueillaient les eaux de ruissellement et le trop-plein des pompes publiques. Ils faisaient le bonheur des gosses qui allaient y pêcher et y faire des provisions de têtards et de tritons. La première de ces photos a manifestement été prise un jour où on l’a vidé. Sur la berge, de gauche à droite, le bourgmestre Aimé André, M. Duchêne, Gaston Gillain, Théo Nollevaux, Georges Lambert, Clarisse Hébrant et Christian Hébrant. La seconde, prise un jour d’hiver montre Marie-Christine Hébrant et son frère Christian: l’étang, gelé, se trouve entre eux et leur maison rue du Bos-le-Comte. La troisième photo est prise du même endroit. Les trois jeunes femmes dans l’herbe sont, de gauche à droite, Fancine Vaneuken, Gabrielle Gillain et Andrée Grégoire.
Collection M-C et C Hébrant - Collection Marcel Bourbouse
Promenade en barque sur l’étang Marcelle… De gauche à droite, Willy Gérard, Robert Beaurain aux rames, Alex Beaurain et Guy Maginet. Et Willy Gérard sur la glace.
Collection Willy Gérard
A la mi-août 2006 nous avons inséré dans le forum les deux photos et la question que vous verrez ci-après. Des messages se sont alors échangés des informations sont venues de ci – de là . Nous vous les résumons ci-après. Et vous réservons une surprise en fin de cet article !
La question de base était donc ainsi posée : « les deux photos ci-dessus ont été prises au même endroit : le haut de la place de Gougnies, devant le « Château Piret ». La seconde a été prise le 15 août dernier… mais la première? Qui pourrait avancer une réponse? A en juger par les vêtements, nous sommes sans doute aux alentours de la guerre de 14-18. Qui sont ces cavaliers? Des marcheurs? C’est peu vraisemblable… De « vrais militaires »? Etrange. Et que fête-t-on? Selon certaines personnes déjà interrogées, les petits rails, dans le bas de la photo pourraient avoir été installés là pour délimiter le jeu de balle. Sauf erreur, il en restait d’ailleurs un tronçon il y a quelques années encore.
A vos méninges… ».
Et voici des réactions :
« On dirait en observant bien qu’il s’agit du lundi de Pentecôte après la rentrée, une compagnie amie qui « remonte » après la haie d’honneur … on voit le drapeau tenu par un cavalier et c’est le printemps … la personne (enfant) au premier plan mange une crême glacée. »
« Quant aux rails, je ne pense pas non plus qu’ils aient été placés la uniquement pour délimiter un jeu de balle (existait-il déjà d’ailleurs un jeu de balle à cette époque sur la place alors qu’initialement il était à la rue de l’Escuchau) … la bonne question à poser serait de savoir s’il n’y avait pas une industrie ou un chantier qui aurait nécessité le placement de rails pour le transport de matériaux »
« Construction de la maison communale ou de l’église ? »
« L’église de Gougnies a été construite de 1852 à 1854. La maison communale a été construite en 1879. »
« Les cavaliers ne sont pas des marcheurs :ils n’ont pas de pantalons blancs. C’est un détachement de militaires »
« En ce qui concerne les militaires, une autre hypothèse semble possible. Il pourrait s’agir d’une garde civique. A cette époque, elles étaient présentes dans tout les villages. Mais ce n’est qu’une hypothèse.»
« Si ma vue ne me fait pas défaut, on peut apercevoir, dans le cortège, une personne qui doit probablement être une femme. Elle se situe derrière le drapeau. Elle n’a pas le même habillement que les autres et on dirait qu’elle monte à cheval en amazone. »
Et, enfin, l’avis d’un ancien militaire (Régiment de Lanciers) :
« A première vue, il ne s’agit pas d’une unité de l’armée.
1. Les chevaux sont harnachés avec des bridons. (= mors simple alors qu’à l’armée il est double)
2. les chabraques (= tapis de selle) ne sont pas toutes de même couleur et les selles ne sont pas munies de sacoches.
3. Il semble y avoir une cavalière en retrait du porte étendard.
4. Les cavaliers ne sont pas au botte à botte selon la monte militaire.
5. Je n’ai pas connaissance de régiment belge de voltigeurs à cheval (Voir coiffure des cavaliers.)
Il pourrait donc s’agir d’une représentation de cavaliers militaires dans le cadre des festivités organisées en Belgique à l’occasion du nouveau millénaire et du 70e anniversaire de l’indépendance ».
Nouvelles précisions apportées par Willy Moreau qui a consulté un Chargé de mission au Musée de l’Armée. Celui-ci confirme les remarques 1 à 5 ci-dessus de Willy et ajoute que les distances entre les cavaliers ne sont pas celles d’une formation militaire. Plus de doute: il s’agit d’un groupe folklorique !
Et voilà: grâce aux réactions des visiteurs de Gougnies.be, le mystère est levé et, à partir de la première photo qui nous avait été confiée a pu naître tout un ensemble qui est assez riche pour devenir un dossier autonome
Photo de gauche : Collection Jules Marcelle - à droite, photo Ben
Et voici des photos d’une journée de liesse, en 1945 à Gougnies: la fête de la Libération et du retour des prisonniers. Les jeunes filles de la première photo portent des ceintures aux couleurs de la Belgique ou, peut-être, à celles des Alliés. Toujours sur cette photo on distingue, à droite, un cheval: c’est sans doute celui qui traine le char visible sur un des documents suivants. Et qui sont donc ces fringantes demoiselles? Les souvenirs conjugués de Raymond Soumillon, Jules Marcelle et Gabrielle Soumillon nous permettent d’avancer la proposition suivante: (de g à d) Francine Vaneuken, Alice Soumillon, Anna Bourlet, Andrée Tayenne, Anne Marcelle, Madeleine Marcelle, Georgette Pouleur, Jeanne Soumillon, Marie Vaneuken, Eva Grégoire, Andrée Grégoire, Gabrielle Gillain
Photos collection Philippe Mengeot
Ces photos mériteraient quelques explications que vous même ou vos proches détiennent peut-être et dont nous serons heureux de faire bénéficier tous les usagers du site. N’hésitez donc pas à nous les livrer dans la rubrique « Commentaires » ci-après. Questions parmi d’autres: qui sont les personnes juchées sur le char et pourquoi sont elles ainsi honorées; qui sont les militaires (vraisemblablement des prisonniers libérés) que l’on voit sur la seconde photo (prise à la jonction des rues des Hayettes et de Namur) et les deux suivantes ?
Voici, portée par elle-même, une robe qu’Elizabeth Heuchon a réalisée dans le plus grand secret en vue de la Libération. Elle avait été mise en garde: il ne s’agissait pas d’être vue, les Allemands étant devenus très chatouilleux…
Photo collection famille Gaspar
Au verso de la première de ces photos Gaspard François écrit, le 15 février 1924 à sa filleule: « Cette carte représente une scène des Petits Savoyards. Quoiqu’elle date d’une quinzaine d’années… » (etc). Au verso de la deuxième photo: « voici encore une scène de La Grâce de Dieu » (etc) et de la troisième: « voici une scène du Petit Ramoneur ».
Et voici une photo-carte postale du même Gaspard François qui nous démontre que le 20 février 1902 il y avait un peu de neige à Gougnies.
Quelques photos anciennes de marcheurs…y compris en culottes courtes!
Photos collection Christine Hébrant et Antoinette Salmon
Photo de gauche. Datant des années 30. Les enfants de g à d : Jean Maginet, Louis Maginet, Maurice Bourbouse et Emile Hébrant. Photo de droite: qui pourrait identifier un de ces fringants jeunes officiers et demoiselles ?
Photo de gauche. Maurice Barbey et Gaston Gillain. Photo du centre: le Corps d’Office dans les premières années de la reprise après la guerre. A genoux, de g à d: Jules André, René Porignaux, Gaston Gauthier et Albert Salmon. 2eme rang: Camille Defrenne, Jules Frédéric, François Hébrant, Fernand Looze et Alfred Hébrant. Photo de droite: de sapeurs au château en 1939. De gauche à droite : Oscar Soumillon, Raymond Mengeot, Hector Grégoire, Léon Simon, Simon Disière, Maurice Barbey, Léon Marchal (sergent), Marcel Viroux, Jean-Baptiste Patriarche, Albert Salmon, Emile André.
Photos collection Philippe Mengeot
Photo de gauche: l’officier adulte est Arthur Bourbouse. Parmi les enfants on reconnait notamment: Philippe Mengeot, Alain Jacob, Michel Bourbouse, Bernard Mengeot, Yvan Borbouse, Jean Constant, Francis Sodini et Arthur Borbouse. La photo de droite, quant à elle, mériterait des explications. Il s’agit d’une remise de drapeau par, semble-t-il, Gaston Gillain qui fut bourgmestre entre 1941 et 1944. Or, sauf erreur, on n’a pas marché pendant la guerre. Qui détiendrait une explication ?
Photos collection Jean Marcelle
Première photo: une visite au château vers 1900. Seconde photo: Pentecôte 1938. Les traditionnels 12 sapeurs aux haches en « bwès d’pouye ». Troisième: Saint Sacrement 1946. De g à d: Arthur Wiame, Georges Massaux,Eugène Goffaux,Joseph Toussaint et Augustin Douillet. Et enfin, l’inauguration du nouveau drapeau de la Marche en 1981. Délégations invitées autour du drapeau (porte drapeau Jean Marcelle) et des autorités communales : Guy Geniesse, Raymond Brimant (bourgmestre), Henri Millis, et Gaby Gilain.
Retour d’enterrement en 1962 ou 63. Enterrement de première classe puisqu’il y avait trois enfants de choeur. De gauche à droite: Bernard Mengeot, Pierre Baudoux et Philippe Mengeot.
Visite de Saint Nicolas à l’école en 1962. Avant plan de g à d : Philippe Mengeot (enfant de chœur), Bernard Mengeot (enfant de chœur), Saint Nicolas (Michel Caramin), Pierre Baudoux (enfant de chœur), Gérard Delfosse (mayeur).
2ème rang : Mme Coster (institutrice gardienne), Jules Lefevre (garde champêtre), Melle Caussin (institutrice école des filles), Melle Vassart (institutrice honoraire), Père fouettard (Yvonne Minet), le curé Brison, Aimé André (échevin de l’instruction), Emile Grenier (secrétaire communal), Jean-Claude Maquet (instituteur école des garçons).(Merci à Ph Mengeot pour cette légende)
En 1966 et en 1972, des marcheurs de Gougnies ont été reçus, dans la garnison d’Arnsberg par le 4e Chasseurs à Cheval, unité où servait notre ami Willy Moreau. Voici d’ailleurs un extrait de ce qu’il écrivit dans le N° 27 du Bulletin de l’Association des Marches.
« A l’initiative du Lieutenant-Colonel Bastogne, Chef de Corps du 4e Chasseurs à Cheval et grâce à la collaboration spontanée du Corps d’Office et des marcheurs de Gougnies, les 24.000 habitants d’ Arnsberg, aux confins de la Westphalie et de la Hesse, ont vécu une journée exceptionnelle » de marche » (…)Après un voyage nocturne de 360 km et quelques heures d’un sommeil agité au quartier du 4e Chasseurs à Cheval, un réveil énergique est exécuté dès l’aube dans le bloc de l’Escadron B et dans la cour du quartier par la batterie aux ordres de Fernand Looze, tambour-major, Aimé André, sergent-sapeur, Albert Salmon, adjudant (…)
Les familles belges agréablement surprises paient d’un large signe de la main ou d’une fine «Napoléon ». Les Allemands, les yeux bouffis de sommeil, se frottent les yeux et les oreilles. Quant aux sapeurs et grenadiers, ils n’ont pas attendu l’appel pour se rassembler et bientôt une première salve est tirée au Quartier Reigersvliet.(…) »
Parmi les photos ci-dessus: le défilé des marcheurs sur le parade ground de la caserne et le lieutenant-colonel Bastogne remettant à Albert Salmon, dans le parc entourant le mess des officiers, au centre d’Arnsberg, le fanion qui est encore arboré fièrement par le sergent des Artilleurs. Il est aux couleurs fondamentales du 4e Chasseurs à Cheval: jonquille et rouge.
Photos collection Famille Weets, (la 3e) Pierre Barbiaux et (la 4e) Willy Moreau
Nouvelle descente des marcheurs en 1972, en 1er empire, à l’invitation du Lieutenant-Colonel Delvenne. Cette année là, la saperie était emmenée par Henri Bancu et la batterie par Joseph Baufayt. Parmi les sapeurs on reconnait Louis Negrello, Roger Weets, Fernand Weets, Michel Barbiaux et Hubert Douillet. On remarquera aussi combien Benoît Moreau est gentil avec son petit frère Marc. Qu’ils étaient mignons… à cette époque là !
Le cartouche sous la photo porte l’inscription :
Cercle l’Alliance Gougnies, interprétant ici « Le Bossu » ou « Le Petit Parisien »
Ont été reconnus: avant-plan (enfants) de g à d: Marcel Delferrière, Pauline Vaneuken, Marie Vaneuken, Georgette Bertrand, Albert Grégoire.
Deuxième rang, de g à d: Raymond Soumillon père, Marcel Joris, Isaac Vaneuken, (?) Bertrand, Rosita Bertrand, Joseph Zicot, X, Lucia Borbouse, Roger Laffineur, Arthur Poulleur.
Troisième rang, de g à d: Marcel Gillain, Lucien Burton, X, X, Camille Defresne, Roger Cattelain, Arthur Cattelain, Raymond Jallay, Eugène Goffaux, Maurice Mengeot.
Quatrième rang, de g à d: Oscar Soumillon, Yvon Vaneuken, Arthur Willame, Emile Disière, Calixte Delferrière, René Grégoire, Henri Borbouse, (?) Bodson, Albert Salmon, Georges Jallay.
Merci à Christine Hébrant, Philippe Mengeot et Elisabeth Grégoire pour leurs recherches. (Mise à jour le 10 janvier 2007)
Nous sommes en 1974, Gerpinnes célèbre le 1200ème anniversaire de la mort de Sainte Rolende à la ferme de Villers-Poterie. A cette occasion, un défilé est organisé dans les rues de la cité rolendienne. Les compagnies participant chaque année à la procession de la Pentecôte fournissent des groupes représentant les épisodes de l’histoire et les costumes variés relatent les escortes armées des reliques sur nos terres. Gougnies représente alors un groupe d’artilleurs espagnols du XVIIème siècle. Le canon est bien de chez nous, il n’est pas espagnol, mais Franco ne nous en n’a pas voulu, il n’était plus au pouvoir !
Sur la photo, de g à d : Jean-Luc Beaufayt, Pierre Tondus, Jean Marcelle et Michel Barbiaux.
Photo 1: collection Willy Moreau. Remarquez les belles bacchantes blanches du premier tambour. Photo 2: collection Jean-Luc Baufayt. Des marcheurs de Gougnies à Wauthier-Braine. Au premier rang: Jean Monnoyer, Jacques Monnoyer, Joseph Baufayt, Jean-Pol et Marie-Christine Maginet. A l’arrière Lucien Gillain, Franz Tamine, Illario Garutti et Julien Maginet. Tout complément d’information (date, circonstances …) serait le bienvenu dans la rubrique « Commentaires » ci-desssous. Et enfin deux photos que Rita Beaurain nous adresse avec le commentaire suivant: « J’ai retrouvé une photo prise il y a 23 ans à la rentrée de Gougnies. Mon fils Olivier, mes deux filleuls Christophe, Raphaël ainsi que Stéphane leur cousin avaient encore du chemin à parcourir.
Ils ont déjà usé quelques paires de chaussures depuis …
Cette année à la rentrée de Sartia je les ai photographiés dans le même ordre. De gauche à droite : Raphaël Beaurain, Christophe Beaurain, Olivier Ronchi et Stéphane Beaurain. »
Dans les années ’30 (peut-être même en 1930 exactement pour le centenaire de la Belgique) eut lieu à Gougnies une procession dans la cadre, peut-être, d’un « congrès eucharistique ». Sur la deuxième photo (le Christ et ses apôtres) on reconnait notamment: au premier rang, de g à d: Hubert Douillet, Hector Grégoire, Germain Baufayt, l’âne, Jules André, Fernand Looze et Ernest Baurain. Au second rang, sur l’âne, Adelain Mengeot et, à sa gauche, Aimé André.
Ah, les enfants! Voici deux « mariages » pleins de saveur. Ci dessus, celui de Jean Carly et de Nadine André, en 1949, dans le cadre d’une saynète montée par l’institutrice Mlle Laffineur (qui allait devenir Mme Coster) sur la scène du patro. Ils avaient 5 ans et chantaient « Voulez vous danser grand père… voulez vous danser grand-mère… »
Photos collection Christine Charlier
Celui-ci est également piquant. Il a été « célébré » en 1970. Sur la première photo, les parents de la mariée. Le père : Christine Charlier; la mère : Brigitte Taxet. Photo 2, la suite. Le père Christine Charlier et la mariée Monique Caramin. Le marié: Gina Negrello et la mère du marié: Martine Massinon. En robe blanche avec écharpe rouge: Antoinette Deconinck. La suite du cortège: Bénédicte Nollevaux, Dominique Martin, Cathy Garutti. Photo 3: derrière Brigitte et devant Martine Massinon: Brigitte Beaufayt ( ?). Photo 4. Le curé: Sonia Beaurain. La maman du curé passe avec son cabas derrière! Les reporters de Gougnies.be croyent pouvoir avancer qu’au menu du banquet il y avait des vitoulets et des haricots verts, mais qu’il dut être écourté pour des raisons indépendantes de la volonté des jeunes mariés et de la suite…
Comme d’habitude, merci de corriger toute erreur ou d’apporter des compléments d’informations dans le cadre des « commentaires » ci-dessous !
Nos amis du club cyclo Racingbike ont eu des prédécesseurs à Gougnies.
De la première photo, ci-dessous, nous ne savons rien sinon qu’elle appartenait à Albert Salmon. Qu’ils ont donc fière allure ! Quelqu’un aurait-il des pistes ? L’année ? Vers 1920 ? Reconnaît-on quelqu’un ou l’endroit ?
Sur le second cercle, bien plus récent il est vrai, nous en savons beaucoup, de la bouche même de son fondateur-président Freddy Grégoire.
C’est l’échevin Henri Millis qui, dans les années’70, souffla à l’oreille de Freddy l’idée de créer un club cycliste à Gougnies . Formé à partir d’un noyau de gougnaciens, il reçut rapidement des renforts de Biesme, Couillet, Acoz… Si bien qu’on compta assez rapidement une petite cinquantaine de membres Cependant, parmi ceux-ci, il y en avait des jeunes… et des moins jeunes. Les seconds limitaient les sorties à une matinée et les premiers piaffaient d’envie de faire de plus longues randonnées. Le club se scinda donc après 4 ou 5 ans d’existence et les plus vaillants purent ainsi avaler, comme ils le souhaitaient, leurs 120 km dominicaux.
Avant plan assis de g. à d. : Christine Dalbroux, Alfred Grégoire (président), Bernard Collyns (secrétaire), Cathy Grégoire, Eric Decruyper.
2ème rang à genoux : Henry Dupuis (flècheur), Viviane Schoonyans, Danielle Grégoire, Béatrice Grégoire, Carine Nastavnij, Elena Poulin, Claire Decruyper, Mariette Mathot, Félicien Rollyn.
3ème rang : Odette Vasse, Jules Lefèvre (président d’honneur), André Remy, le bourgmestre Brimant, Joseph Sohit, Henri Millis (échevin et sponsor), René Grégoire, Patrick Grégoire, Jacques Decruyper, Madame Millis (sponsor), Baudry Gillain (sponsor), Josiane Cattelijn (sponsor), André Duculot (sponsor).
Dernier rang : Robert Bauffe, Christian Hébrant, Floriste Dalbroux (mécanicien), X, Jean-Pierre Bartholomé (trésorier), Michel Moucheron, le Mambour, Alphonse Vaas, Maguy Brasseur.
Manquent sur la photo : les deux sœurs Frérot, Ronald Genard, Marcel Frères, Rolande Taxet, son fils, sa fille et le bon ami de celle-ci et une demoiselle Barbiaux.
Photos collection famille Grégoire
Première photo. Le comité, de g à d : Alfred Grégoire (président) Jules Lefèvre (président d’honneur) Bernard Collyns (secrétaire) Félicien Rollyn (secrétaire-adjoint) Jean-Pierre Bartholomé (Trésorier) Floriste Dalbroux (mécanicien) et Henry Dupuis (flècheur). Seconde photo: prêts au départ !
Et alors qu’on approche d’un nouveau « cassage du verre » voici encore une série de photos anciennes de marcheurs… avec, en vedette celle ci-dessous où l’on reconnait, notamment les membres du Corps d’Office aux alentours de 1950.
Premier rang, de g à d: Hector Grégoire (tambour-major), Gilbert Porignaux, Camille Defresne (sergent sapeur)Gaston Gauthier, René Porignaux, X, Albert Salmon (adjudant). Second rang, de g à d: X, Emile Lechat (fifre), Justin Minet, Félix Lechat (tambour), X, Marcel Lechat (tambour), Jean Grégoire (tambour) Victor Lechat (Tambour et Louis ? (tambour).
Photo collection Jacques Monnoyer, restaurée par Arnaud Tombelle. Merci à la mémoire de Justin Minet et de Joseph Baufayt.
Première photo. Prise au drapeau, sans doute peu avant 1950. De g à d: X, Gaston Gauthier, X, Joseph Baufayt, X,X, Alfred Hébrant, X,X,X,X, Marcel Borbouse.
Deuxième photo : à gauche de la porte on reconnait, notamment, Nicole Tamines, Henriette Antoine, Marie-Madeleine Duchêne, Omer Duchêne. En complet noir: le Cabut, derrière le drapeau le bourgmestre Jules Burton. L’officier porte drapeau est Alfred Hébrant.
Troisième photo, de g à d: Alfred Hébrant, porte drapeau; Louis Maginet, grenadier; Richard Soumillon, grenadier; Albert Hebrant, officier; Gilbert Duchêne, porte bonnet.
Sous le drapeau, de g à d: Joseph Baufayt, X, Franz Duchêne.
Photos collection Joseph Baufayt
Seconde photo (coll. Annie Van Bellinghen) Gabriel Van Bellinghen vers 1932.
Troisième photo (coll Freddy Grégoire) : une rentrée avec le dernier conseil communal de Gougnies: le bourgmestre Aimé André comme sergent sapeur; à gauche Henri Millis et à droite Freddy Grégoire. Gaby Gillain accompagnait la compagnie de Biesme et Robert Bauffe la jeune compagnie. Quatrième et cinquième photos (coll. famille Vaneuken)
Dans les années 30, Herman Blampain, aide porte drapeau.
Première photo. On reconnaît notamment : avant plan de face : Evelyne Delporte, Louise Wecxel, Paolina Rapallini.
Deuxième plan : Mathilde Wautier, Madeleine Caramin (debout), Betty Grégoire et, derrière elle, Philomène André. Puis, de gauche à droite : Mme Baudoux, le docteur Baudoux, Aimé André et le curé Massinger.
Deuxième photo. Première table, premier rang : Madame Libois, Hortense Bastin, Madame Hebrant, Madame Massinon, X, X, Louise Wecxel, Francine Lambert (debout) et devant elle Théo Nollevaux.
Première table deuxième rang, Marguerite Goemans, Alexina Constant, X, Nelly Jooris, René Porignaux, X, Louis Jallay, Madame Dissy, Madame Mengeot, Louise Gillain.
Deuxième table de face : 5ème à partir de la gauche : Palmyre Denis, Emilio Rapallini, Paolina Rapallini.
Troisième photo. 1er rang de gauche à droite : Madaleine Caramin, Eva Grégoire, Francine Lambert, Guy Van Bellinghen, Annie Van Bellinghen, Madame Schooters.
Deuxième rang : Gabriel Van Bellinghen, Madame De Koning, Madeleine Caussin, Marie-Jeanne Massinger, Marie-Claude Maquet, Madame Coster, Simone Lefevre et Christiane Maquet.
Photos 1 et 2: collection Raymond Soumillon. Photo 3: coll. Annie Van Bellinghen
Un de nos dossiers est consacré à la balle pelote à Gougnies et est en constante évolution selon l’actualité. Mais auparavant on jouait à la balle au tamis: une photo dans l’historique de Gougnies Pelote en témoigne. En voici une autre.
A Gougnies résidait également Adelin Detellier, décédé en 1989. Adelin Detellier n’a pas joué à Gougnies où la balle-pelote avait remplacé la balle au tamis, mais il fit partie de différentes équipes: Fosses, Biesme, Oret. Il jouait dans cette dernière lorsqu’en 1956, après une finale au Sablon à Bruxelles, ayant marqué le point qui rendit son équipe victorieuse, il reçut « La balle du Roi ».
Première photo: Adelin recevant le trophée. Sur la seconde, à sa gauche, son frère Fernand. Troisième photo: Adelin arborant le trophée; devant lui, son fils Claude.
Photos coll. famille Detellier.
Le Prix du Roi (au centre) ne fut pas le seul trophée d'Adelin Detellier: il remporta aussi en 1950 et 1951 la "Balle du Gouverneur". Seconde photo: Mme Yvonne Detellier présente le prestigieux trophée gravé "Prix du Roi 1956".
Photos Ben